Titre : | Le roman de Marina : Marina Tsvétaeva (1892-1941) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dominique Desanti, Auteur | Editeur : | Paris : Belfond | Année de publication : | 1994 | Importance : | 387 p. | Format : | Grand format | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7144-3150-9 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature:Poésie
| Tags : | Biographie Tsvetaeva Marina Union soviétique littérature russe | Résumé : | Enfant prodige, publiée dès l’adolescence, Marina Ivanova Tsvetaïeva (1892-1941), la romantique Moscovite, rencontre Serge Efron, son mari, alors qu’elle n’a que dix-huit ans.Dès lors, pour le meilleur et surtout pour le pire, elle le suivra à la vie à la mort. En 1918, Serge étant un officier « blanc », ce sera l’exil à Berlin, Prague et Paris. Dix-sept années durant, elle y sera célèbre, adulée, mais pauvre. Ses amours, multiples et partagées, pour Boris Pasternak, Rainer Maria Rilke et bien d’autres n’empêcheront pas Marina de rejoindre Serge, qui a changé de camp et retourne en Union soviétique.
Mais en 1939, Serge est arrêté, puis condamné. Marina décide alors de se donner la mort, presque en présence de son plus jeune fils. Elle disait : "De mes vers, comme des vins précieux,le temps viendra".
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Le roman de Marina : Marina Tsvétaeva (1892-1941) [texte imprimé] / Dominique Desanti, Auteur . - Paris : Belfond, 1994 . - 387 p. ; Grand format. ISBN : 978-2-7144-3150-9 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature:Poésie
| Tags : | Biographie Tsvetaeva Marina Union soviétique littérature russe | Résumé : | Enfant prodige, publiée dès l’adolescence, Marina Ivanova Tsvetaïeva (1892-1941), la romantique Moscovite, rencontre Serge Efron, son mari, alors qu’elle n’a que dix-huit ans.Dès lors, pour le meilleur et surtout pour le pire, elle le suivra à la vie à la mort. En 1918, Serge étant un officier « blanc », ce sera l’exil à Berlin, Prague et Paris. Dix-sept années durant, elle y sera célèbre, adulée, mais pauvre. Ses amours, multiples et partagées, pour Boris Pasternak, Rainer Maria Rilke et bien d’autres n’empêcheront pas Marina de rejoindre Serge, qui a changé de camp et retourne en Union soviétique.
Mais en 1939, Serge est arrêté, puis condamné. Marina décide alors de se donner la mort, presque en présence de son plus jeune fils. Elle disait : "De mes vers, comme des vins précieux,le temps viendra".
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