Titre : | DONA PAZ, LA LIBERTINE, | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dona Paz, Auteur | Editeur : | Paris : La Cerisaie | Année de publication : | 2008 | Collection : | Ceriselles | Importance : | 46 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-914908-46-7 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Bandes-dessinées
| Tags : | XVIIe siècle Espagne lesbianisme bisexualité | Résumé : | Espagne, 1663. Jeune fille d’origine extrême-orientale mystérieuse, Doña Paz envoie paître Dieu et ses nonnes, s’enfuit du couvent pour parcourir le monde. À la manière de Don Juan, elle défie une statue de mort, et déclare « Je ne veux plus pour maître que ma raison ». Elle demande asile à Doña Victoria, amie de sa mère, dont elle refuse les avances, mais qui lui apprend l’escrime et l’art de la conversation, avant de la recommander à Mme du Sablier, à Paris. Sur le chemin, à l’instar du Don Juan de Molière, elle sauve la vie d’un gentilhomme qui malheureusement connaît son père, et qui la suivra à Paris. Elle est accueillie dans le salon de Mme du Sablier, dont la conversation et les talents de sculptrice la séduisent. Ses frères l’ont pistée, mais elle refuse de les suivre et se déclare libertine. Un soir au théâtre, elle remarque qu’on la regarde, et tombe sous le charme d’une inconnue, laquelle est accompagnée d’un eunuque. Il semble que Doña Paz soit héritière d’une lignée impériale chinoise… |
DONA PAZ, LA LIBERTINE, [texte imprimé] / Dona Paz, Auteur . - Paris : La Cerisaie, 2008 . - 46 p.. - ( Ceriselles) . ISBN : 978-2-914908-46-7 Langues : Français ( fre) Catégories : | Bandes-dessinées
| Tags : | XVIIe siècle Espagne lesbianisme bisexualité | Résumé : | Espagne, 1663. Jeune fille d’origine extrême-orientale mystérieuse, Doña Paz envoie paître Dieu et ses nonnes, s’enfuit du couvent pour parcourir le monde. À la manière de Don Juan, elle défie une statue de mort, et déclare « Je ne veux plus pour maître que ma raison ». Elle demande asile à Doña Victoria, amie de sa mère, dont elle refuse les avances, mais qui lui apprend l’escrime et l’art de la conversation, avant de la recommander à Mme du Sablier, à Paris. Sur le chemin, à l’instar du Don Juan de Molière, elle sauve la vie d’un gentilhomme qui malheureusement connaît son père, et qui la suivra à Paris. Elle est accueillie dans le salon de Mme du Sablier, dont la conversation et les talents de sculptrice la séduisent. Ses frères l’ont pistée, mais elle refuse de les suivre et se déclare libertine. Un soir au théâtre, elle remarque qu’on la regarde, et tombe sous le charme d’une inconnue, laquelle est accompagnée d’un eunuque. Il semble que Doña Paz soit héritière d’une lignée impériale chinoise… |
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